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Anaëlle, étudiante en master 2 Sciences des religions et sociétés

Anaëlle, étudiante en master 2 Sciences des religions et sociétés, parcours religions et laïcité dans la vie professionnelle et associative, partage avec nous son expérience au sein de l'EPHE - PSL.

Quelle est votre formation ?

 

Après une double licence histoire – sciences politiques, j'ai souhaité préparer un Master Sciences des religions et sociétés, parcours religions et laïcité dans la vie professionnelle et associative.

 

Pourquoi avez-vous choisi l’EPHE - PSL ?

 

Ancienne étudiante d’une université de très grande taille, je voulais trouver pour mon master des cours à taille humaine où l’étudiant n’est pas un chiffre parmi tant d’autres. Ce que j’apprécie au quotidien à l’EPHE - PSL, c’est l'accessibilité et l'accompagnement du corps enseignant, pouvoir facilement parler aux professeurs qui, même pour les plus demandés, prennent du temps pour leurs étudiants.

J'ai choisi l’EPHE - PSL car j’y ai trouvé le master qui correspond véritablement à mes attentes.

 

Comment résumeriez-vous votre expérience à l’EPHE - PSL ?

 

Être à l’EPHE - PSL c’est prendre le temps de profiter pleinement de l’ambiance particulière de cette école. En effet, il faut saisir à pleines mains toutes les options proposées afin de vivre à 100% les cours, les différents colloques proposés, la vie étudiante dans les associations... Pour exemple, par curiosité, je suis allée à beaucoup plus de cours que les cours obligatoires et j’ai adoré ceux-ci. C’était très enrichissant.

En parallèle, j'ai été la présidente de l’association étudiante de l’EPHE – EPHESE – mais aussi représentante des étudiants de mon master. Ces deux missions m’ont permis de connaître réellement l’École en dialoguant avec les professeurs et les membres de l’administration pour différents projets. Par ce biais et malgré la crise sanitaire, j’ai rencontré aussi de nombreux étudiants dont certains sont devenus de très bons amis. Pour résumer : il ne faut pas hésiter à s’investir pleinement dans la vie proposée par l’EPHE - PSL.

 

Partagez-nous votre meilleur souvenir à l’EPHE - PSL !

 

Malgré les cours en ligne lors du confinement, nous sommes parvenus à construire une bonne ambiance de groupe parmi le master avec des étudiants de tous les âges. Ainsi, je dirais que mon meilleur souvenir a été le pique-nique de fin d’année organisé par mes professeurs afin de pouvoir enfin tous se réunir et profiter des terrasses du Campus Condorcet comme il se doit. Nous avons pu discuter au soleil autour d’un bon repas : c’était très agréable !

 

3 conseils pour les futurs étudiants qui voudraient intégrer l’EPHE - PSL ?

 

Profiter des nombreux choix de cours pour assister à un maximum possible, prendre le temps de dialoguer avec les professeurs qui sont accessibles et d'une grande aide, prendre part à la vie associative de l’EPHE - PSL afin de rencontrer des étudiants de différentes disciplines. Bref, saisir sans hésiter toutes les opportunités mises à disposition des étudiants.

 

Quel est votre projet professionnel ? Quelles sont vos ambitions ?

 

J'ai effectué le premier semestre de mon M2 en Erasmus à l’Université de Szeged, en Hongrie. J’y ai suivi des cours en anglais dans un master semblable au mien : Religious Studies. Issue d’une double licence histoire – sciences politiques, je souhaite perpétuer ce lien des deux disciplines à travers les sciences religieuses en devenant spécialiste de la question dans le milieu professionnel et non universitaire, d’où le choix de ce parcours particulier à l’EPHE.

Professionnellement, j'aimerais aborder les religions sous un angle politique, autour des questions de laïcités par exemple, mais aussi sous le prisme des relations internationales afin de les appliquer concrètement au terrain. Pour cela, j'ai saisi la possibilité de faire un long stage au cours de mon second semestre afin de découvrir le milieu journalistique pendant un mois, suivi d'un stage de six mois au sein d'un cabinet de conseil spécialisé dans la formation sur les faits religieux et la laïcité. Je ne sais pas encore exactement quel sera mon futur métier – voire mes futurs métiers – car je ne cesse de découvrir de nombreuses options professionnelles. Néanmoins je suis persuadée d'une chose : je vais trouver, à la suite de mon master, un métier passionnant.