Véronique
FRACHET
Dès le début de sa carrière, Véronique Frachet travaille dans des domaines liés à la cancérologie, que ce soit sur les processus d'adhérence cellulaire (DEA et doctorat), sur une protéine-kinase oncogénique (post-doctorat) ou sur le développement de nouvelles molécules à visée thérapeutique.
En 2000, Véronique Frachet intègre l'EMI 104 en tant que chercheur post-doctorant pour développer un projet dont l’objectif est d’identifier des ligands peptidiques spécifiques de la CK2 (une protéine-kinase), pouvant servir d’outils pour perturber ses fonctions cellulaires. Pendant deux ans, elle travaille ensuite en tant qu'ingénieur de recherche au sein de la plateforme Robiomol, hébergée à l'Institut de Biologie Structurale de Grenoble et dédiée à la production haut débit de protéines recombinantes.
En 2007, Véronique Frachet est recrutée à l'EPHE. Elle rejoint alors le laboratoire CaCyS (Cancer, Cycle cellulaire et Sénescence) dirigé par Xavier Ronot (directeur d'études à l'EPHE). Elle développe un projet de recherche centré autour de l'évaluation du potentiel anticancéreux de nouvelles molécules synthétiques dérivées des flavonoïdes ou de complexes métalliques à base de cuivre.
Depuis 2015, elle a rejoint l'Institut pour l'Avancée des Biosciences (U1209, Grenoble) et est rattachée à l'équipe Thérapie ciblée, diagnostic précoce et imagerie du cancer (dirigée par J.-L. Coll).
Cancer : diagnostic, traitement, recherche et développement
Responsable formation
Projet tutoré
Responsable formation
Intégrer les métiers de la recherche scientifique
Remise à niveau en biologie cellulaire et moléculaire
Signalisation et oncogenèse - Partie 2
Socle : biologie cellulaire et moléculaire (Montpellier - UE double)
Socle biologie cellulaire et moléculaire
Le dialogue qui s'établit entre les cellules et ce qui les entoure (facteurs biologiques, chimiques, mécaniques) contrôle leur comportement. Une meilleure compréhension des interactions qui se créent au sein de ces microsystèmes est particulièrement importante dans le cadre de la recherche de nouvelles stratégies thérapeutiques. Ainsi, je développe deux axes de recherche dont l'un porte sur le rôle du microenvionnement tumoral dans la résistance des tumeurs aux thérapies ciblées et l'autre, sur le contrôle de la différenciation des cellules souches mésenchymateuses par modulation de la topographie du support sur lequel elles adhèrent.