Une étude publiée dans la revue Nature, menée par l’Université de Tartu (Estonie) et impliquant plus de 200 scientifiques de plusieurs établissements, dont l’EPHE - PSL, révèle l'effet significatif des activités humaines sur l’érosion de la biodiversité végétale. De nombreuses plantes indigènes sont ainsi absentes de leurs habitats potentiellement naturels selon l’étude, introduisant le concept de « Dark diversity ».